IN FONDAX #8

Qui es-tu ?

Je suis Carole, j'ai 29 ans.

Comment es-tu arrivé chez Fondax ?

Après un BTS chimiste réalisé en apprentissage en centrale nucléaire, j’ai travaillé pendant quatre ans dans un laboratoire d’analyse d’amiante. J’ai fait une reconversion en passant une licence en santé et sécurité au travail à partir de 2017 puis un titre d’hygiéniste du travail et de l’environnement en 2019. J’ai fait ces formations en contrat de professionnalisation chez Focast à Chateaubriant. A la suite de cela, on m’a proposé de travailler en temps partagé entre Focast et Fondax. Je suis là depuis septembre 2021.

Quel est ton poste ?

Je suis responsable Qualité Sécurité Hygiène Environnement.

Peux-tu nous le présenter ?

Je m’occupe de la qualité client et de la qualité du système dans le but d’obtenir la certification ISO 9001. Je m’occupe également de la partie santé-sécurité afin que les salariés travaillent dans les meilleures conditions pour rentrer chez eux en bonne santé et de la partie environnement. C’est un travail qui m’oblige à jongler avec beaucoup de sujets différents. Du fait que je travaille dans deux entreprises, cela demande beaucoup de concentration.

Qu’aimes-tu dans ton poste ?

J’ai la chance de travailler dans une entreprise où la santé et la sécurité tiennent une place importante. Je suis préventeur avant tout donc ce sont des sujets qui me tiennent à cœur.
J’ai également des collègues formidables sans qui tout cela ne serait possible. La fonderie est un milieu magnifique qui nécessite un certain savoir-faire.

Un mot pour le projet L.U.N ?

C’est un beau projet. Je l’ai pris en cours de route et j’aime beaucoup le fait que tout le monde y participe. Chacun est acteur dans ce projet. La nouvelle usine est créée à partir des besoins et des demandes des salariés. Je ne connais pas beaucoup d’entreprises, surtout en fonderie, qui agissent de la sorte.
C’est aussi un pari sur l’avenir. La fonderie a besoin de redorer son image. Beaucoup sont anciennes et les conditions de travail ne sont pas optimales. Ça n’est pas un milieu qui attire. J’espère que le projet L.U.N. va permettre de faire découvrir ces métiers.